Cliquer sur l'image pour l'agrandir. De haut en bas : Composition 6, Rue aux parapluies, Rue 10, Rue 11, Rue 12.
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Anonyme
a dit…
Ludmila, sans Albin, sans doute ne serais-je jamais venu te voir, j'ai beaucoup aimé l'encre de ses "métamorphoses" illustrant l'article paru sur la revue " la main de singe", j'aime aussi l'eau qui mouille ces rues de parapluies, comme un temps définitivement gris, prostré, c'est beau.
Au crépuscule, les nains ont des ombres de géants, dit-on en Russie, la nuit tous les chats sont gris, fait en écho le dicton français, Ludmila vient et va, pas à pas, de-ci de-là et vice-versa.
Банки из-под варенья никогда не бывают пустыми, а тени не бывают серыми. Все краски предмета не в нем самом, а в его отражении. Может быть Создатель не был гениальным, потому что вряд ли был человеком, но художником он был и остается, все время удивляющим бесконечностью и точностью сочетаний цвета и форм. Истины говорю. Банальные.
За картинки говорить не нужно, им даже названия не нужны. Нарисовал фигу - всем ясно, как ты к ним относишься. Картинки говорят сами на уровне теней, отражений.
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Ludmila, sans Albin, sans doute ne serais-je jamais venu te voir, j'ai beaucoup aimé l'encre de ses "métamorphoses" illustrant l'article paru sur la revue " la main de singe", j'aime aussi l'eau qui mouille ces rues de parapluies, comme un temps définitivement gris, prostré, c'est beau.
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